L’invention de Hugo Cabret

Hier, j’ai lu ce roman :

L’invention de Hugo Cabret – Brian Selznick :
Hugo Cabret est orphelin : son père, qui l’élevait, est mort dans l’incendie du musée où il était employé comme horloger. Ses seuls compagnons sont un automate trouvé dans les décombres du musée, sur lequel travaillait son père, et son oncle, un poivrot qui l’héberge dans les combles de la gare. Un jour, l’oncle disparaît. Hugo n’a d’autre solution que de se cacher et de poursuivre le travail de l’oncle (régler les horloges) en priant pour qu’on ne le découvre pas. Car il a un but : finir de réparer l’automate de son père. Hugo est persuadé qu’une fois en état de marche, celui-ci lui délivrera un message important. Pour cela, il dérobe chaque jour un jouet à un vieux vendeur, se constituant ainsi une réserve de rouages, de ressorts… Seulement, un matin, le vieil homme le prend la main dans le sac : il lui confisque son carnet de croquis, indispensable à la réparation de l’automate, et l’oblige à travailler pour lui…

Ce livre est un roman jeunesse, de 500 et quelques pages, mais qui a la particularité d’être en partie dessiné, en partie écrit : on commence par des pages dessinées (un dessin par double page, au crayon en noir et blanc, comme sur la couverture), puis 4-5 pages de texte, puis de nouveau des dessins : c’est très agréable à lire (j’ai préféré ce format à de la bande dessinée classique), et aussi très rapide (lu dans l’après-midi, en m’occupant aussi des 2 petits…). L’histoire est vraiment sympa, on s’attache très vite à ce garçon de 12 ans, orphelin et débrouillard.
En faisant quelques recherches sur le Net au sujet du livre, j’ai vu que Martin Scorsese est en train de tourner un film d’après ce livre qui sortira aux Etats-Unis à la fin de l’année… J’irai peut-être le voir !