Lectures diverses et variées
J’ai plein de livres en retard à vous présenter… Allez, on commence :
La forêt des 29 – Irène Frain
«MONSIEUR PROPERGOL », le spécialiste français des fusées cosmiques, court le risque d’être enlevé par des espions étrangers, mais, farceur et fantaisiste, il refuse énergiquement de se laisser protéger. Une seule solution pour les services secrets français : l’enlever eux-mêmes !
L’opération est confiée à un petit commando dont le membre apparemment le moins important est le sous-lieutenant Langelot, dix-huit ans.
Mais, peu à peu, ses camarades plus anciens sont éliminés par les services adverses. C’est donc à lui que revient la protection de l’excentrique savant et de sa charmante fille, Hedwige, dite Choupette. Une mission passionnante, mais sûrement pas de tout repos !
J’aime toujours autant Langelot… même si j’ai (un peu) grandi… L’avantage de la Bibliothèque verte, c’est que c’est vite lu !
La révolte des accents – Erik Orsenna :
Depuis quelque temps, les accents grognaient. Ils se sentaient mal aimés, dédaignés, méprisés. À l’école, les enfants ne les utilisaient presque plus. Chaque fois que je croisais un accent dans la rue, un aigu, un grave, un circonflexe, il me menaçait.
–Notre patience a des limites, grondait-il. Un jour, nous ferons la grève. Attention, notre nature n’est pas si douce qu’il y paraît. Nous pouvons causer de grands désordres. Je ne prenais pas les accents au sérieux. J’avais tort.
Je cherchais le livre sur le coton ou le papier d’Erik Orsenna à la bibliothèque, et je n’ai trouvé que celui-là : c’est un conte assez sympathique, très facile à lire, mais que je n’ai pas trouvé transcendant.
Jusqu’au jour où celui qui a besoin de son aide avoue appartenir au camp honni des royalistes. Leurs discours s’opposent et pourtant ils ont en commun des amis, un désir de paix, de liberté d’expression. Entre la révolutionnaire et le royaliste, mariés l’un et l’autre, naît un charme puissant auquel il leur est pourtant interdit de céder.
Dans le somptueux et sauvage décor de la côte de Granit rose, les amours de Just et de Jouvence connaîtront de terribles épreuves, au goût de sel et de sang. Ils seront emportés par la Terreur qui brisa Tréguier, ville éminemment catholique, cernée de villages acquis à la Révolution.
Merci pour tous ces conseils littéraires, c’est sympa. Bisous.
> Ce n’est pas de la « grande » littérature, mais ça permet de passer des moments agréables…
La forêt des 29 me tente bien ! Et j’aime bien ce titre… La révolte des accents… Je me le note dans un coin
> J’ai bien aimé ! Je crois que je vais en chercher d’autres d’Erik Orsenna (il a aussi écrit Les chevaliers du subjonctif… Evocateur comme nom, non ?)