Happy Sunday Evening * 20

Une fois n’est pas coutume, une photo de moi pour ce HSE…

… parce que peut-être que dimanche prochain, je n’aurai plus ce profil !

J-9… La ligne d’arrivée se rapproche !

D’autres HSE chez Poppyrose

Dans notre album photo

Encore quelques travaux de finition dans les chambres, et ce sera terminé !

Menus de la semaine

Prêts pour le rendez-vous hebdomadaire ?

Alors c’est parti !

Samedi midi : Truite rose, fondue de poireaux et riz

Samedi soir : Soupe de courge – Riz au chorizo

Dimanche midi : Potée – Far aux cerises (photo de ma réalisation et recette de Tallula)

Dimanche soir : Soupe de courge – Gratin de quenelles

Lundi soir : Tourte saumon/épinards

Mardi soir : Tourte saumon/épinards (l’autre moitié)

Mercredi soir : Oeufs cocotte munster et champignons  et tagliatelles (c’était la première fois que j’en faisais, je crois que je recommencerai, ne serait-ce que pour vous donner la recette !)

Jeudi soir : Riz au comté (celle-là aussi, je crois que je devais vous la donner )

Vendredi soir : Croque-monsieurs et haricots verts/champignons

Dans notre album photo

Suite des soldes… (encore presque tout pour la demoiselle )

Dans notre album photo

Soldes ! 1€60 le distributeur et le porte-savon… Ca aurait été dommage de s’en priver !

La splendeur des Vaneyck

J’ai terminé la semaine dernière un roman d’Annie Degroote qui retrace l’histoire de Lille et Roubaix sous le Second Empire, vu à travers les yeux de l’industrie textile. Moi qui suis de ce milieu (le textile, pas le Nord ), ça m’a interpellée !

La splendeur des Vaneyck – Annie Degroote :

Ce jour-là, tout ce que l’industrie lainière de Lille et de Roubaix compte de filateurs et d’ouvriers sous le second Empire a fait le déplacement : on enterre le vieux Maes. Tout en célébrant le disparu, on murmure que sa jeune veuve l’aurait peut-être aidé à s’en aller… Au premier rang, Arthur Maes, héritier de l’empire textile du même nom, ne peut masquer son impatience et son ambition. Son frère Julien, quant à lui, regrette l’absence à la cérémonie des Vaneyck, lointains cousins et ennemis de toujours. Sans doute pense-t-il en particulier à l’une des demoiselles Vaneyck, dont il ignore encore le prénom… D’histoires familiales en bouleversements sociaux, et de rivalités haineuses en amours interdites, les deux familles vont assister à la transformation de leur époque et de leur clan.

Je pense que ce livre ne restera pas longtemps dans ma mémoire… Certes, le côté historique est intéressant (les conditions sociales des ouvriers textiles, la guerre du coton…) mais j’ai trouvé que l’auteur ne s’attache pas assez à ses personnages : elle les fait vivre assez superficiellement, sans rentrer dans les détails de leurs pensées et émotions (ce qui fait le charme du roman selon moi). Du coup, on ne se trouve pas plongé dans leur existence et on s’en détache très facilement (j’ai d’ailleurs mis longtemps à le lire, ce qui n’est pas très bon signe ).